LEXIQUE DE L'AVIATION - Lettre T

TABASSAGE :
Ce que subit un appareil soumis à des turbulences de l'atmosphère. Vient de coup de tabac.

TACHYMÈTRE :
Instrument destiné à mesurer la vitesse de rotation du moteur, aussi bien en aviation grandeur qu'en modèle réduit. Très utile pour régler les micro-moteurs.

Ils sont construits d'après plusieurs systèmes :
- fréquence des vibrations qu'il provoquent sur une tige en corde à piano : vibrotest.
- intensité d'un courant électrique engendrée par la rotation d'une dynamo entraînée par le moteur.
- force centrifuge : rotation de masselottes qui s'écartent d'autant plus que la vitesse est plus rapide.
- système électronique basé sur l'interruption d'un rayon lumineux par le passage des pales de l'hélice.
Seuls le vibrotest très bon marché et le tachymètre électronique, très cher, n'absorbent pas de puissance et donnent la vitesse réelle de rotation.
Les deux autres donnent des indications valables à partir de moteurs de 2,5 cm3.

TAFFETAS de nylon :
Appelé aussi Japonine. Matériau d'entoilage utilisé avec bonheur pour l'entoilage des avions V.C.C. Ne doit pas peser plus de 40 g au m2. Au-delà, donnerait un entoilage trop lourd.

TANDEM :
L'un derrière l'autre.
Poste de pilotage en tandem : où l'équipage dispose de deux sièges l'un derrière l'autre par opposition au poste côte à côte.
Moteurs en tandem : moteurs opposés deux à deux, l'un actionnant une hélice tractive, l'autre une hélice propulsive.
Avion tandem : avion qui dispose de deux ailes, une à l'avant, l'autre à l'arrière. Les avions de la formule MIGNET, dont le premier est le POU DU CIEL, sont des avions tandem où le centre de poussée est placé entre les deux ailes, comme pour le canard où il est placé en avant de l'aile, entre l'aile et le plan fixe avant.

TANGAGE :
Mouvement qui se produit autour de l'axe de tangage. L'avion effectue des variations de pente.

TAPIN :
Argot aéronautique qui signifie avion, comme piège ou taxi.

TAXI :
Argot aéronautique qui signifie avion ou planeur, ou piège, ou tapin.

TAXIWAY :
Chemin de roulement utilisé par les avions pour se rendre à la piste de décollage.

TÉ :
Appareil en forme de T installé sur l'aire à signaux d'un aérodrome, mobile et souvent commandé depuis la tour de contrôle.
Il indique la direction et le sens de la piste d'atterrissage, et pas forcément la direction du vent, qui est seulement indiquée par la manche à air.

TERMITE :
Insecte ailé ou non, vivant en communauté comme les fourmis et se nourrissant surtout de bois. Cause d'énormes dégâts sous les tropiques.
Gougnafier gaspillant le balsa de la communauté. Une section termite est un groupement d'aéromodélistes qui utilise beaucoup de balsa sans produire beaucoup d'appareils. Des mangeurs de balsa en somme.

TÊTE-BÊCHE :
Position particulière de deux éléments semblables juxtaposés en position inverse. C'est tout ... mais cela fait économiser beaucoup de balsa !

TÊTE DE BIELLE :
Ce que l'on a tendance à confondre avec le pied de bielle. C'est l'extrémité de la bielle reliée au maneton du vilebrequin. Celle qui est reliée au piston par l'axe du piston est le pied de bielle.

TÉTON :
N'a rien à voir avec ce que vous pensez.
Pièce de bois ou de métal qui empêche un élément dans lequel il pénètre, de bouger. On l'appelle plus communément téton de centrage. Il est en général cylindrique. Lorsqu'une aile est reliée au fuselage par une clé susceptible de donner lieu à un mouvement de torsion et risquant, par conséquent, de faire varier l'incidence en vol, on fixe au fuselage, à l'emplanture de l'aile, un téton qui pénètre dans la nervure d'emplanture et l'empêche de pivoter.

THERMIQUE :
Contraction de "ascendance thermique", expression qui n'est jamais utilisée, ni par les aéromodélistes, ni par les vélivoles. Le substantif ainsi créé devrait être féminin comme l'adjectif. En réalité il est masculin. On dit un thermique.

THERMIQUE PUR :
Ascendance thermique qui n'est pas balisée par un cumulus. Elle n'atteint pas le niveau de condensation . Le thermique pur ne s'élève dans nos régions qu'à faible altitude, sauf lorsque l'atmosphère est instable.
Ils sont très turbulents, très hachés, très inconfortables pour le pilote. En aéromodélisme, on observe parfaitement cette turbulence, les planeurs étant très secoués.

TIMONERIE : Ensemble des éléments mécaniques permettant de transmettre les actions depuis le pilote jusqu'aux surfaces mobiles.
En aéromodélisme, même définition, mais en partant des servo-moteurs.


TONNEAU :
Figure de voltige : Rotation de l'avion autour de son axe de roulis.

TONNEAU DÉCLENCHÉ :
C'est un tour de vrille très rapide effectué sur une trajectoire horizontale. Alors que la vrille se déclenche, quand elle est provoquée volontairement, par un départ en autorotation à vitesse de décrochage, dans le tonneau déclenché on provoque un cabré brutal à vitesse normale, en même temps que l'on agit à fond sur l'inclinaison. Cette figure est très brutale, très éprouvante pour le passager et elle ''sonne" l'avion.
A ne pas confondre avec le tonneau qui est une rotation de 360° autour de l'axe longitudinal (de roulis). Dans le tonneau déclenché, comme dans la vrille, la trajectoire de l'avion est une spirale.

TOUCH AND GO :
Manœuvre qui consiste à toucher la piste à l'atterrissage, puis à redécoller aussitôt. Utilisé systématiquement pour l'entraînement des pilotes afin de réduire la durée des tours de piste.

TOUR DE CONTRÔLE :
Installation d'aérodrome avec vues bien dégagées dans tous les azimuts, où se tient le contrôleur chargé des mouvements d'avions sur le terrain et aux environs immédiats de celui-ci. On doit lui obéir en principe aveuglément, en réalité après avoir contrôlé soi-même soigneusement la situation. Mais il ne faudra jamais lui désobéir sans l'avoir informé d'une situation nouvelle qui lui aurait échappé et qui provoquera d'autres instructions.

TOURBILLON ATTACHÉ :
A l'extrados, la vitesse de l'air est plus grande que la vitesse générale de l'écoulement.

V 1 = V + V'

A l'intrados, elle est plus petite.

V 2 = V - V''


On peut donc admettre qu'il existe à l'intrados une vitesse supplémentaire dans le sens de l'écoulement, et à l'intrados une vitesse contraire au sens de l'écoulement, donc il se se produit un écoulement circulaire autour de l'aile dans le sens négatif (des aiguilles d'une montre). C'est ce courant équivalent qu'on appelle tourbillon attaché.
C'est lui qui, après une mise en portefeuille au treuillage, provoque la mise en autorotation de l'aile cassée, sur un axe transversal, toujours dans le même sens, celui des aiguilles d'une montre, jamais dans le sens inverse. Ce mouvement est entretenu par le déplacement du centre de poussée vers le bord d'attaque quand l'aile est en position normale (extrados vers le haut) et vers le bord de fuite quand elle est sur le dos. Voir centre de poussée.

TOURBILLONS MARGINAUX :
Voir traînée.

TRAIN (d'atterrissage) :
On l'appelle aussi atterrisseur. C'est l'ensemble des roues, jambes, amortisseurs, patins, etc ... qui supporte l'avion ou le planeur au sol.
Pour les avions dits classiques, il comprend le train principal et la roulette de queue, souvent remplacée sur les avions réduits par une béquille (comme autrefois sur les avions grandeur). Pour les avions à train tricycle, il comprend un train principal et un train avant qui est toujours orientable sur les avions grandeur et relié à la commande de direction. Il en est de même pour les modèles radiocommandés, mais non pour les avions V.C.C.

Il peut être en tandem. Dans ce cas il est complété par des balancines d'aile.

Dans tous les cas, il doit comprendre un système d'amortisseurs, basé, en modèle réduit, sur l'élasticité de la corde à piano (de préférence trempée : voir trempe) travaillant, soit en flexion, soit en rotation (barre de torsion). Les roues peuvent être remplacées ou complétées par des skis.

TRAÎNÉE :
Force qui s'oppose à l'avancement d'un aérodyne par suite de la résistance de l'air . Voir forces aérodynamiques.
La traînée totale d'un aérodyne est donnée par la somme :

1° - de la TRAÎNÉE INDUITE, celle qui résulte automatiquement de la portance et qui s'ajoute à la traînée normale due à l'avancement du profil. Elle est provoquée en partie par des tourbillons qui se produisent au bord de fuite lorsque les filets d'air étant passés par l'extrados retrouvent ceux qui sont passés par l'intrados. Comme la pression des filets d'intrados est supérieure à celle de l'extrados, la rencontre des deux pressions entraîne un mouvement tourbillonnaire.
Aux bords marginaux, même chose, la dépression d'extrados au contact de la pression d'intrados provoque de forts tourbillons que l'on peut d'ailleurs déceler en attachant un fil de laine aux bords marginaux d'un planeur.
Ces tourbillons qui se prolongent loin en arrière tournent dans le sens négatif pour l'aile gauche et positif pour l'aile droite.
On peut les diminuer en installant aux bords marginaux des plaques verticales ou des dérives pour le plan fixe, en diminuant la différence de pression par une forme elliptique des bords marginaux ou en donnant un vrillage négatif aux extrémités d'aile.
N'importe comment, toutes ces solutions ou l'absence de solution entraînent une perte de portance pour une partie de l'aile. Cette perte sera proportionnellement plus petite si, en conservant la surface, on augmente l'allongement.


2° - la TRAÎNÉE DE FROTTEMENT, due à un mauvais état des surfaces.
Plus ces surfaces sont rugueuses et inégales, plus la traînée est importante. D'où la nécessité d'un ponçage, d'un polissage, d'une finition, d'un lustrage impeccables.

3° - les TRAÎNÉES PARASITES provoquées par tous les éléments inutiles à la portance, mais quelquefois utiles technologiquement ou commercialement (fuselage, empennages). Les antennes, trains, feux de position, moteur, etc.... doivent être soigneusement profilés.

TRAJECTOIRE :
Ligne que suit un avion en vol. La trajectoire ne se confond pas forcément avec l'axe de roulis, ni avec la ligne de référence du fuselage. C'est elle qui forme, avec l'angle de calage de l'aile, l'angle d'incidence.

TRANSFERT :
Action de déplacer un objet d'un point à un autre et notamment le mélange de combustible gazeux du carter dans la chambre d'explosion. Les canaux de transfert assurent cette opération. Ils sont creusés dans le cylindre et aboutissent aux lumières d'admission.

TRAPANELLE :
Argot aéronautique. Avion ancien, démodé en plus ou moins bon état de vol.

TREMPE :
Traitement thermique de l'acier qui consiste à le chauffer à haute température et à le refroidir plus ou moins rapidement dans l'air, l'eau, l'huile, le sable, etc ....

En aéromodélisme, il est intéressant de tremper la corde à piano qui a été façonnée pour obtenir certaines pièces, notamment les jambes de train. Sans cela ces pièces seraient déformables et ne rempliraient pas leur rôle fondé spécialement sur leur élasticité.

Technique de la trempe : Chauffer dans une flamme de gaz ou dans un foyer de forge la jambe de train jusqu'à ce qu'elle soit portée au rouge cerise clair (800° environ). La plonger dans un bain d'huile (huile de graissage). C'est la trempe proprement dite qui rend l'acier très cassant.
Nettoyer la pièce et la passer au papier abrasif.
La chauffer à nouveau avec précaution jusqu'à ce que le métal vire au bleu. Laisser ensuite refroidir lentement à l'air.
C'est ce qu'on appelle le REVENU.
Après cela, la pièce est devenue un véritable ressort.

TREUIL :
Engin mécanique utilisé pour lancer les planeurs à l'aide d'un câble.
Les modèles réduits utilisent un tambour sur lequel s'enroule le fil, entraîné par une manivelle dont le mouvement est multiplié par un jeu d'engrenages. Ce système est pratiquement abandonné pour le lancer à la course.
Les planeurs utilisent un treuil actionné par un puissant moteur (V 8 Ford le plus souvent). Mais de moins en moins. Il est délaissé au profit de l'avion remorqueur bien plus pratique, sinon plus économique.


TREUILLAGE :
Opération contre le bon sens, consistant à faire s'élever un aéronef en le tirant vers le bas à l'aide d'un câble. Fut longtemps taxée de sorcellerie. Technique inventé par les Chinois pour lancer leurs cerfs-volants. Le treuillage a souvent pour aboutissement le plantus.

TREUILLÉE :
C'est l'action de lancer un planeur grâce à un treuil, à un renvoi ou simplement à un fil.
Dans le premier cas, le "treuilleur" reste immobile et rebobine le fil sur le tambour du treuil.
Dans les deux autres, c'est le treuilleur qui se déplace pour entraîner le planeur.
Le treuil et le renvoi en honneur au temps où l'on utilisait de grandes longueurs de fil (100 mètres) et où les planeurs étaient fins et rapides, sont délaissés actuellement.

TRIANGLE DES VITESSES :
C'est une construction géométrique qui permet de déterminer graphiquement le cap vrai et la vitesse sol de l'avion.

Le problème est le suivant :


Connaissant la route vraie : Vecteur formant avec le Nord vrai l'angle de route vraie , la direction le sens et la force du vent représentée par le vecteur formant avec le Nord vrai l'angle , la vitesse propre de l'avion représentée par le vecteur , tous ces vecteurs étant proportionnels à la distance à parcourir (route) ou aux vitesses :

Trouver :
1° Quelle sera la direction à donner au vecteur , c'est-à-dire quel sera le cap vrai (angle entre le Nord vrai et l'axe de l'avion).
2° Quelle sera la longueur du vecteur donnant la vitesse sol de l'avion.

Solution :
1° En C, reporter le vecteur tel que = .
2° En B, avec une ouverture de compas égale à la longueur FG, tracer un arc de cercle qui coupe AC en H. Tracer le vecteur .
Si on reporte NA en NH, l'angle donne le cap vrai que devra afficher le pilote et donne la vitesse sol de l'avion. Celle dont il devra tenir compte pour calculer son H.E.A. (Heure Estimée d'Arrivée).


Remarquer que la vitesse sol est plus grande que la vitesse propre de l'avion, le vent étant 3/4 arrière. En réalité, l'axe de l'avion sera donné par le cap compas qui est le cap vrai, modifié par la déclinaison et la variation compas, et non par le cap vrai comme indiqué sur le croquis.

TRIM (radio-commande) :
Dispositif qui permet de régler les gouvernes en vol. Correspond aux flettners ou tabs de l'aviation grandeur.
Exemple : Un avion R.C. vole normalement en vol horizontal, gouverne au neutre. Il passe sur le dos. Le profil devient moins porteur et l'avion a tendance à descendre. Le pilote, du sol, sera constamment obligé de corriger à la profondeur. Il agira alors sur le trim de profondeur qui braquera légèrement la gouverne de profondeur vers le haut, et l'avion après un léger changement d'assiette volera à nouveau horizontalement.
Le TRIM est commandé par un deuxième servo-moteur branché sur la commande de profondeur. Il occupe deux canaux (une voie).

TROIS AXES : voir axes.

TROTTOIR (faire le trottoir) :
Argot vélivole. Voler en ascendance de pente en longeant la pente parallèlement à elle, virage vers la plaine, retour, deuxième virage vers la plaine (du coté opposé) etc... etc ... jusqu'à ce que le pilote soit fatigué (ce qui est rare), ou que le vent tombe, ou qu'on le rappelle par radio pour céder sa place à un autre pilote.
En vol de pente, le planeur vole en crabe par rapport au sol pour éviter d'être déporté en arrière de la pente ; on dit qu'il a pris un angle de dérive, ou plus simplement que sa dérive est de tant de degrés.


Lu sur un des panneaux de stage au Centre National de vol sans moteur de la Montagne Noire : "Nous avons tous fait le trottoir .... même elles". "elles" : les stagiaires féminines.

TROU D'AIR :
Expression par laquelle le passager profane désigne le passage d'un avion dans un rabattant ou descendance ou "dégueulante". Il se traduit par une brusque perte d'altitude qui provoque des réactions physiologiques bien connues.

TUBES :
Très utilisés en modèle réduit : tubes porte-hélice en moteur caoutchouc, entretoises, tubes de réservoir de carburant, moyeux de roues, etc ... Existent en aluminium et en laiton. En général, ils sont calibrés pour recevoir des cordes à piano, leur diamètre intérieur est donc toujours légèrement supérieur à celui des C.A.P. En général, on désigne les tubes alu par leur diamètre extérieur, ils coulissent les uns dans les autres. Diamètre maxi 10, mini 2. Les tubes laiton sont désignés par le diamètre de la C.A.P. qui coulisse à l'intérieur. Eux aussi coulissent l'un dans l'autre.

TURBULENCES :
Mouvements verticaux de l'atmosphère, désordonnés qui secouent violemment les appareils.

TURBINE :
En aéromodélisme, on appelle turbine un micromoteur équipé d'une hélice à faible diamètre et à nombreuses pales fonctionnant dans une tuyère à l'intérieur d'un fuselage. La propulsion est assurée à la fois par l'effet de traction de l'hélice et l'effet de réaction du flux d'air dont la vitesse à la sortie est supérieure à celle qu'il a à l'entrée à cause de l'effet de compression de la turbine et de l'échauffement de l'air par les gaz d'échappement et par le moteur lui-même.
Cependant, si ce système présente un certain intérêt pour des maquettes volantes d'avion à réaction, il a l'inconvénient d'un faible rendement et d'une usure rapide du moteur, qui tourne à un régime très élevé.

TURBO-PROPULSEUR :
Groupe moto-propulseur dont l'hélice est actionnée par une turbine semblable à celle d'un turbo-réacteur. L'éjection des gaz d'échappement de la turbine concourt à la poussée de l'ensemble. En somme, un turbo-propulseur tire avec son hélice et pousse avec son échappement (par réaction).

TURBO-RÉACTEUR :
Moteur à réaction. Sur le même arbre se trouve, à l'avant un compresseur à plusieurs étages, c'est-à-dire composé de plusieurs roues munies de pales qui aspirent l'air par l'avant et le compressent en le rejetant vers l'arrière, et une turbine à plusieurs étages elle aussi. L'air comprimé par le compresseur arrive dans la chambre de combustion où il reçoit le combustible (kérosène pulvérisé). Le combustible brûle et augmente considérablement la température et la vitesse des gaz. Ces gaz sont violemment rejetés vers l'arrière, ce qui provoque la réaction ou poussée vers l'avant. Au passage, ils font tourner la turbine qui, à son tour, fait tourner le compresseur ainsi que des alternateurs chargés de fournir l'énergie électrique à l'avion.

TUYÈRE :
Dispositif final du turbo-réacteur qui impose aux gaz leur circuit d'éjection.

A
B
C
D
E
F
G
H
I
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M
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Q
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